Le Joli Mois de l’Europe 2025 se déroule tout au long du mois de mai 2025, avec pour objectif de valoriser l’Europe dans notre quotidien, de mettre en avant les projets soutenus par les fonds européens, les structures en lien avec l’Europe, et de promouvoir la mobilité européenne.
Célébration de la Journée de l’Europe Le 9 mai 2025 marque le 75e anniversaire de la Déclaration Schuman, qui a posé les bases de l’Union européenne.
Le CECI organise ou participe à des événements pour faire découvrir les actions et actualité européennes :
28 avril : rencontre avec les élèves de CM2 de l’école St Pierre à Plougastel-Daoulas.
5 mai : « l’Europe au quotidien » à l’invitation du Comité de jumelage de Guipavas.
6 mai : rencontre avec les collégiens de Sainte Ursule à Cléder et Notre dame d’Espérance à Saint Pol de Léon.
9 mai : célébration de la Journée de l’Europe.
22 mai : rencontre de Gérard Vernier et Patrice Obert auteurs de « L’Europe et ses défis » publié chez l’Harmattan avec des lycéens de la Croix Rouge à Brest puis conférence publique à la librairie Dialogues (en partenariat avec Brest Métropole dans le cadre du mois de l’Europe).
Quelles relations franco-allemandes pour l’Europe après les élections en Allemagne ? Tel est le thème de la table ronde lors de la première Journée européenne 2025 du CECI.
Dans le cadre de la Semaine de l’Amitié franco-allemande, à l’initiative de la Maison de l’Europe de Bordeaux, Alfons Scholten (administrateur du CECI) interviendra le lundi 20 janvier pour parler de la situation économique et politique allemande.
Report des négociations par le gouvernement géorgien : quelles positions politiques et juridiques pour l’UE ?
Je voudrais remercier le Docteur Ioseb Kelenjeridze, Directeur de l’Institut de Droit à l’Université Européenne à Tbilissi pour son invitation à intervenir à l’occasion de cette conférence internationale « European Union – Legal and Political Vectors ». Merci également à Vazha Kiladre qui anime notre session ainsi que Hans-Jurgen Zahorka qui a été un intermédiaire efficace et amical dans cette invitation. J’adresse mes salutations aux autres intervenants de cette conférence : Madame Nona Gelashvili et Monsieur Levan Meskhoradze.
Les questions auxquelles m’a demandé de réagir Ioseb Kelenjeridze sont de nature pluridimensionnelle : politiques, juridiques, diplomatiques et morales.
Mon propos est celui d’un modeste observateur attentif aux situations européennes. Je dois dire qu’au moment où nous échangeons, des mesures potentielles pouvant être prises sont discutées actuellement au sein des instances européennes et entre les États membres. Il est important de rappeler que le statut de candidat a été accordé à la Géorgie le 14 décembre 2023, par les Chefs d’État et de gouvernement lors d’un sommet européen.
Pour rappel ces questionnements touchent à la loi sur les ingérences étrangères, lois contraires à la règlementation européenne. Si la Géorgie n’abroge pas ces lois, quel pourrait en être le résultat ? C’est un objet politique et juridique conditionnel à la démarche d’adhésion. L’Union européenne pourrait-elle interdire à la Géorgie les voyages sans visa ? Ou retirer le statut de candidat ?
Commençons par cette question de visa car c’est une position symbolique face à la situation en Géorgie. Actuellement, les ressortissants géorgiens n’ont pas besoin de visa pour des séjours de moins de 90 jours sous conditions de ressources et d’un passeport. Toutefois, actuellement l’UE exprime son mécontentement en menaçant de suspendre des visas diplomatiques en raison de la répression de l’opposition.
Le partenariat oriental
Avant d’aller plus loin il est important de rappeler que la Géorgie est un des pays partenaires de l’UE et participe déjà au partenariat oriental lancé en 2009. Ce partenariat vise, entre autres choses, à renforcer le dialogue politique entre l’UE et les pays partenaires, à faciliter l’intégration économique à travers des accords d’association et des accords de libre-échange, à promouvoir des réformes en matière de démocratie, de droits de l’homme et de bonne gouvernance. La situation actuelle fait que, malgré ces accords d’association en cours, la situation politique actuelle soulève des préoccupations quant à l’avenir de l’intégration européenne de la Géorgie.
Les questions que vous me posez impliquent une réflexion sur la complexité de la situation. Elles touchent à la fois à la négociation avec l’Union européenne et les actuels pays membres et à la politique intérieure de la Géorgie, et concernent le droit communautaire, la citoyenneté européenne tout comme aux identités nationales et identité commune. Elles touchent également à la conscience européenne. La liberté des ONG est primordiale dans le processus démocratique ainsi que leur coopération notamment pour celles dont l’action est liée à un rapprochement avec l’UE et à la diffusion de l’information européenne aux citoyens. On ne peut parler ici d’ingérence mais de dispositif habituel à toute candidature acceptée à la dimension politique commune. La question des élargissements est sensible car il en va également de l’unité européenne en ces périodes de turbulences économiques et politiques internationales et du respect du traité d’Union européenne abordé par Madame Nona Gelasvili. Les difficultés avec la Hongrie en sont un exemple comme peut l’être la progression dans plusieurs pays lors des élections de personnalités de droite radicale.
Une première remarque est celle de l’exercice de la démocratie, du droit de vote et au respect des droits des citoyens. Comme vous le savez un référendum est nécessaire pour entamer les négociations d’adhésion. Ce doit être une volonté populaire et citoyenne. C’est toujours un peuple qui s’exprime et non pas seulement un gouvernement. Dans le cas qui nous intéresse c’est bien le gouvernement géorgien qui recule la date d’ouverture à 2028 contre l’avis des citoyens.
D’autres questions soulevées traitent des choix démocratiques. Celle du droit de circuler librement dans l’Espace Schengen et en UE, et celle des sanctions éventuelles pour atteintes aux droits de l’homme et à la citoyenneté.
Les valeurs de l’UE sont inscrites dans les Traités, notamment celui de Lisbonne mais également dans le document important qu’est la Charte des droits sociaux fondamentaux des citoyens de l’UE. Pour adhérer et valider les négociations il est nécessaire de valider ce que l’on appelle l’Acquis communautaire et transposer dans le droit national l’ensemble de ces dispositions. C’est pourquoi le temps avant l’adhésion peut être long. Parfois 10 ans. Il y a également les questions économiques et sociales à prendre en compte.
Actuellement, important est l’état de la situation et des relations avec la Russie qui mène une guerre d’agression vis-à-vis de l’Ukraine. Ce pays exprime sa volonté de rejoindre l’UE. Les États membres de l’UE ont validé le fait que les négociations s’ouvriront avec ce pays dès la guerre achevée. C’est une question fondamentale car le principe d’adhésion premier est la paix entre les membres. On peut prendre comme principe la relation fondamentale entre la France et l’Allemagne. Sans cette volonté forte, portée en 1950 par les fondateurs, sous l’égide de Robert Schuman et d’autres dont Konrad Adenauer, ce rapprochement historique, l’UE n’existerait pas.
Les opinions publiques
La Géorgie doit se positionner sur les textes actuels. C’est la base. Mais, comme l’a dit Hans-Jurgen Zahorka, il est important de tenir compte des opinions publiques géorgienne et européenne. Toutes ne sont pas au même niveau et certaines peu favorables à un élargissement.
Si l’UE s’engage vers d’éventuels élargissements (au nombre de 10), ils doivent être une réussite et ne concernent pas seulement un marché unique. La relation doit être du type gagnant/gagnant. Il y a d’autres dimensions relationnelles à prendre en compte comme la sécurité commune, la politique de voisinage, la défense, les relations avec le reste du monde, celles avec les BRICS (dont la Russie) et aujourd’hui particulièrement la zone indo pacifique, mais aussi les domaines de notre futur : le numérique et l’intelligence artificielle. La guerre en Ukraine est actuellement un point très sensible.
Toutes les déclarations en UE vont dans ce sens du maintien des négociations ouvertes. Toutes regrettent clairement la déclaration d’Irakli Kobakhidze, contre la position de la présidente Salome Zourabichvili sur la décision de « Rêve géorgien » de ne pas poursuivre l’ouverture des négociations d’adhésion. Ce qui revient à rejeter le soutien financier de l’UE jusqu’en 2028. Il faut avoir conscience qu’en reprenant d’éventuelles négociations après 2028 cela ne permettra pas une entrée dans l’UE dans les deux ans. Il faudra un temps plus long, une dizaine d’années peut être. Cela passera, entre autres éléments, par l’acception des critères de Copenhague et de ce que l’on appelle l’Acquis communautaire. Le constat est que le plan d’action des autorités géorgiennes et le recul démocratique ont conduit à l’arrêt de facto du processus d’adhésion dès juin de cette année et que l’aide financière de l’UE au profit directement des autorités géorgiennes est actuellement en attente.
La position actuelle du gouvernement géorgien marque un changement par rapport aux politiques de tous les gouvernements précédents et ne répond pas aux aspirations européennes de la grande majorité du peuple géorgien, comme cela est inscrit dans la Constitution de la Géorgie.
Les médias nous montrent les images du peuple géorgien, une fois encore, manifestant en grand nombre dans les rues pour réaffirmer ses aspirations à rejoindre l’Union européenne. Bien évidemment, les Européens condamnent fermement la violence contre les manifestants pacifiques qui défendent leur avenir européen et démocratique. De fait, les actions du gouvernement géorgien ont des conséquences directes sur la relation avec l’UE et ses États membres.
Vouloir être membre de l’Union européenne, c’est respecter les règles de l’ensemble que l’on désire rejoindre. Ce n’est pas un accord pour faire bien ou pour obtenir seulement des avantages économiques. Les implications sont nombreuses et autres : économiques bien sûr, mais aussi politiques, sociales, culturelles, diplomatiques….Et reposent sur un socle de valeurs communes et partagées.
Ainsi, les autorités géorgiennes doivent respecter le droit à la liberté de réunion et à la liberté d’expression, et s’abstenir d’utiliser la force contre des manifestants pacifiques, des politiciens et des représentants des médias. Pour l’UE, tout acte de violence doit faire l’objet d’une enquête et les responsables être tenus pour responsables. Je constate, à la lecture des déclarations, que l’UE réitère ses graves préoccupations concernant le recul démocratique continu du pays, y compris les irrégularités qui ont eu lieu lors des récentes élections législatives. Dans ce contexte, l’UE attend avec impatience le rapport final de l’OSCE/ODIHR et ses recommandations.
Que dire encore ? Que l’UE soutient le peuple géorgien et son choix pour un avenir européen. Bien évidemment, la porte de l’UE reste ouverte, mais l’acceptation aux valeurs européennes et le retour de la Géorgie au chemin de l’adhésion à l’UE est entre les mains des dirigeants géorgiens.
33,000 European schoolchildren from 21 countries take part in “European Christmas Tree” operation
Led by the Cercle Europe Citoyennetés et Identités – CECI, « the European Christmas Tree Decoration Exchange”, involves European schools and pupils in an exchange of Christmas decorations. 33,000 elementary school pupils from all over Europe took part this year.
Launched 19 years ago by the Europe Direct Information Centre in Wrexham, Wales, and led at the time by Karen Morrisroe, helped by Vinciane Bodson at the CIED in the province of Luxembourg, Belgium, and taken over in recent years following the Brexit by Brian Stobie at Durham County Council, the operation has become increasingly popular over the years.
Since this year, the organization has been the responsibility of Cercle Europe Citoyennetés et Identités – CECI, a Breton association based in Brest (France). Its aim is to study and consolidate European citizenship. The project, which has a European dimension, brings together classes of pupils aged from 3 to 12 in a Christmas-themed correspondence : schoolchildren make and send decorations to their European mates, and in return receive the same number which will decorate their own school tree. In its first year, CECI registered 403 schools with over 33,000 pupils (a record broken!) from 21 countries : Austria, Bulgaria, Croatia, the Czech Republic, Finland, France, Germany, Greece, Hungary, Italy, Latvia, Lithuania, the Netherlands, Poland, Portugal, Romania, Slovakia, Slovenia, Spain, Sweden, the United Kingdom. The participating schools are divided into 17 groups, each comprising 23 or 24 partner schools from different European countries.
Discovering the cultures and traditions of European countries
To prepare the mail, the pupils accompanied the decorations with an information pack presenting their school and region, and the Christmas traditions in their country : a way of learning about geography on a European scale, but also of discovering traditions in neighbouring countries through culture, while communicating in English, all in authentic situations. In addition to schools, the operation welcomed a number of partners, including libraries in Romania, kindergartens in Latvia, Greece, Lithuania…. and the Faro hospital in Portugal. Children are eager to take part in the project, are enthusiastic and proud to share their new discoveries with others.
An educational project lasting several weeks
While the schools embarked on the creation phase at the end of October and beginning of November, depending on the different school calendars across Europe, the pupils receive and discover letters and parcels on a daily basis. Messages containing wishes for 2025 have been written with great enthusiasm. Diversity is also present in the information packs, which can be sent in paper format, slide shows, digital links and so on.
In terms of logistics, the dedicated CECI team, led by Marie-Laure Croguennec, Marie Christine Rioual, Anne-Marie Stenou and Philippe Rioual, has been working since August on organizing the event : contacting schools, registering, constituting and distributing groups. This operation benefited from the support and relay in the EU of 35 Europe Direct Information Centers of the European Commission.
33 000 élèves de 21 pays participent à l’opération « Sapin européen »
Pilotée par le Cercle Europe Citoyennetés et Identités – CECI l’opération Sapin européen, alias « European Christmas Tree Decoration Exchange » a pour objet de faire participer des écoles et élèves européens à un échange de décorations de Noël. 33 000 élèves d’écoles primaires des quatre coins d’Europe ont participé cette année.
L’opération, lancée il y a 19 ans par le Centre d’Information Europe Direct de Wrexham au Pays de Galles et alors menée par Karen Morrisroe, avec l’appui de Vinciane Bodson au CIED de la province de Luxembourg en Belgique, repris les dernières années à la suite du Brexit par Brian Stobie au Durham County Council, connaît un engouement croissant au fil des ans.
Depuis cette année, l’organisation en revient au Cercle Europe Citoyennetés et Identités – CECI, association bretonne dont le siège est basé dans la Métropole de Brest (France). Son objet est l’étude et la consolidation de la citoyenneté européenne. Ce travail de dimension européenne consiste à mettre en relation des classes d’élèves de 3 à 12 ans pour une correspondance autour des traditions de Noël : les écoliers fabriquent et envoient des décorations à leurs homologues européens, et en retour en reçoivent autant qui serviront à décorer leur propre sapin de l’école.
Pour sa première année d’organisation, le CECI a enregistré l’inscription de 403 écoles regroupant plus de 33 000 élèves (record battu !) venant de 21 pays : Allemagne, Autriche, Bulgarie, Croatie, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Italie, Lettonie, Lituanie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède. Concrètement, les écoles participantes sont réparties en 17 groupes d’échanges, composés chacun de 23 ou 24 écoles partenaires de différents pays européens.
Découvrir les cultures et traditions des pays européens
Pour préparer les envois postaux, les élèves ont accompagné les décorations réalisées par un dossier d’information sur la présentation de leur école et région, et les traditions de Noël dans leur pays : une manière de faire de la géographie à l’échelle européenne mais aussi de découvrir au travers de la culture les traditions dans les pays voisins, en communiquant en anglais, le tout dans des situations authentiques. Outre des établissements scolaires, l’opération a accueilli différents partenaires comme des bibliothèques en Roumanie, des jardins d’enfants en Lettonie, Lituanie, Grèce… ou encore l’hôpital de Faro au Portugal. Enthousiasme et engouement sont au rendez-vous chez les enfants fiers de partager autour d’eux leurs découvertes inédites.
Un projet pédagogique sur plusieurs semaines
Si les écoles se sont lancées dans la phase de création fin octobre début novembre en fonction des calendriers scolaires différents sur le territoire européen, les élèves reçoivent et découvrent quotidiennement lettres et colis. C’est avec un grand enthousiasme que des messages composés des vœux pour 2025 ont été rédigés. La diversité est présente également au travers des dossiers d’information qui peuvent être transmis sous format papier, diaporamas, liens numériques, etc.
Côté logistique, l’équipe dédiée du CECI, animée par Marie-Laure Croguennec, Marie Christine Rioual, Anne-Marie Stenou et Philippe Rioual, a travaillé depuis le mois d’août à la mise en place : contact avec les écoles, inscriptions, constitution et répartition des groupes. Cette opération a bénéficié de l’appui et du relais en UE de 35 Centres d’Information Europe Direct de la Commission européenne.
Invité par les élèves de la classe de première option GGHSP et leur professeur d’économie Angélique Thomas au lycée La Croix Rouge La Salle à Brest, Emmanuel Morucci, sociologue à l’Université Catholique de l’Ouest à Brest, président du CECI et conférencier auprès de la Commission européenne (Team Europe Direct) a parlé des grandes actions récentes de l’UE et présenter l’avenir qui se présente à l’UE.
Après avoir développé quelques éléments des actions les plus exceptionnelles de l’UE ces derniers temps (Covid, emprunt collectif) il a exposé ce qui se présente comme défis et enjeux au moment où une nouvelle Commission s’installe à la suite des élections des députés au Parlement européen.
Quelques exemples : Guerre en Ukraine, compétitivité suite au rapport Draghi et le risque de décrochage économique, la décarbonations, la politique migratoire et les élargissements futurs qui se doivent être construits sur une perspective gagnant-gagnant.
Pour ce faire, selon le président du CECI, l’UE devra avoir une attention particulière vis-à-vis de la zone Asie-Pacifique, se construire un agenda géopolitique et réagir face à la guerre d’invasion face à l’Ukraine. La question de la défense est importante et selon les compétences transférées à l’UE par les États membres et, à ce titre, mettre en œuvre les mesures concrètes identifiées dans la stratégie industrielle de défense européenne (SEAD).
Les élèves avaient préparé de nombreuses questions. Les deux heures d’échanges ont été riches en dialogue.
Au LEGT, quatre élèves de Terminale qui ont réalisé une mobilité à Oslo en Norvège en septembre dans le cadre d’un projet en lien avec la Spécialité SVT ont reçu leur Europass, un document officiel de la Commission Européenne qui atteste des compétences acquises pendant la mobilité, et qui contribuera à étoffer leur dossier Parcoursup.
Une centaine d’élèves des Spécialités HGGSP et SES en Terminale ont eu la chance d’assister à une conférence avec Monsieur Emmanuel Morucci, conférencier pour la Commission Européenne sur l’Europe, ses valeurs, et sa place dans le monde. Une session de questions-réponses a permis aux élèves d’interagir et rebondir sur les points soulevés par Monsieur Morucci, qui a eu grand plaisir à échanger avec les élèves.
À l’occasion du 80e anniversaire de la libération de la ville une conférence sur le thème de la paix était proposée aux habitants par la Mairie de Sainte Adresse (Seine Maritime).
Après une introduction par Luc Lefèvre, adjoint au maire, deux conférenciers Pierre Menguy président de la Maison de l’Europe 76 et Emmanuel Morucci, président du CECI, tous les deux conférenciers auprès de la Commission européenne, membres du réseau Team Europe Direct, ont pris la parole dans un échange instructif.
Emmanuel Morucci a développé son propos autour de 5 grands thèmes en commençant par un historique de la paix en Europe, puis il a parlé de la diplomatie et des diverses formes de coopération, des valeurs communes et pour finir des défis qui attendent l’UE comme acteur et promoteur de la paix en Europe et dans le monde.
Pierre Menguy a relevé quelques remarques introductives sur la Paix (paix à l’intérieur des états, paix entre les états et les 2 réunis assurent la prospérité et le bien-être). Il a ensuite évoqué la construction européenne comme étant un vecteur de paix interne sur un temps long (1945−2007) avant de parler du traité de Lisbonne qui porte la notion de paix en interne par la solidarité.
L’UE conclura-t-il se veut aussi être un vecteur de paix entre pays à l’extérieur.
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